A l'heure des grands projets animés par des réhabilitations d'espaces pouvant accueillir les sancéens vers un "Coeur de Village" hypothétique, dansant autour de zones piétonnières conduisant vers des structures patrimoniales à sauvegarder, je me retourne et regarde Mon SAINT JULIEN à moi.

Je regarde sa SEINE qui se partage à l'entrée de son finage communal, dans des lits artificiels creusés par les hommes des siècles derniers, assoiffés d'industries aux machines à aubes ou autres turbines rejetant ses vomissures en aval de celle qui les feront vivre.

Je regarde son timide affluent, le TRIFFOIRE qui serpente entre les propriétés closes, sans faire de bruit pour rejoindre sa mère Seine au delà d'un pont qui le déverse déjà sur la commune voisine de Troyes.

Je regarde les plans d'eau privatisés qui font autant de perles émeraudes ou bleues dans le vert de notre commune quand on la contemple avec les outils modernes de Google Earth.....

....et je me dis, quelle belle VENISE tu serais ma ville si on s'occupait de toi en repeignant tes méandres pour en faire des CHEMINS de VIE après tes Chemins de Mémoire.

Que tu serais belle ma Seine sauvageonne si on te redonnait cette beauté naturelle, toi qui, à chaque saison, défend seule ton espace face aux pollutions qui te minent, t'étouffent et t'envahissent quand l'homme a pourtant connu ton message, face aux dernières inondations.

Que tu serais pourtant belle ma Seine si tu ouvrais tes chemins de rives à ceux qui aiment te suivre au rythme de ton courant, ou s'asseoir sur un banc pour te regarder passer tranquille, dans ton voyage vers l'océan.

Je rêve alors à te redonner, ma VILLE,  les splendeurs d'une VENISE VERTE pour que tu te remaquilles aux couleurs de ta nature et que tu nous ouvres vers une redécouverte de ta Seine et de ton Triffoire.
Ainsi battra ce COEUR de VILLAGE où chacun aura plaisir à venir te rendre visite pour mieux te voir et te faire participer à nos activités et loisirs dans le respect mutuel de chaque élément harmonisant cet équilibre vital pour notre avenir.

Les employés d'Enedis ne peuvent pas entrer dans les maisons ou les appartements sans autorisation pour installer les compteurs Linky. 
Le tribunal administratif de Toulouse a confirmé ce mardi 12 septembre cette interdiction d'entrer dans les logements sans accord des propriétaires ou des occupants, rapporte un journaliste de franceinfo à Toulouse.

Le tribunal répondait à une saisine du préfet de Haute-Garonne en référé, après que le maire de Blagnac, près de Toulouse, a pris un arrêté le 16 mai dernier pour réglementer la pose des compteurs Linky.

Il souhaitait ainsi garantir aux usagers la liberté d'exercer leur choix à titre individuel et sans pression pour deux choses : l'accès à leur logement ou propriété et la transmission des données collectées à des tiers partenaires commerciaux de l'opérateur.